Aller au contenu

Chant du sidérurgiste antédiluvien

Je suis de cet acier dont nous forgions nos lances

Nos hauts-fourneaux étaient de terre réfractaire

Nous y coulions le fer dans des moules sommaires

Et c’était à la forge et c’était au marteau

Que du fer à nos rêves et la cendre mêlée

Nous inventions l’acier dont nous forgions nos lances

Étiquettes:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *